Auteur: CFI, Camille Diao
Fréquence de publication: Hebdomadaire
Correspondances
Thèmes abordés : Des reporters, des blogueurs, des acteurs et des actrices des médias à travers le monde racontent leurs parcours, leurs inspirations, leurs combats
D’un côté, la défiance envers les médias s’accentue partout dans le monde - un monde où l’on ne sait plus toujours très bien où se situe la vérité.
De l’autre, la liberté de la presse est menacée, plus que jamais : d’après RSF, en 2020, 387 journalistes ont été emprisonnés, dont un nombre croissant de femmes.
Une période trouble, dans laquelle CFI, l’agence française de développement médias, a voulu raconter ces femmes et ces hommes qui, partout autour du monde, travaillent chaque jour pour informer leurs semblables. Au nom de quoi elles et ils se lèvent chaque matin ? Qu’est-ce qui relie une présentatrice télé vietnamienne, un journaliste yéménite et une blogueuse camerounaise ?
Ces derniers mois, la journaliste Camille Diao, a eu l’occasion, et la chance de discuter avec des reporters, des blogueurs, des acteurs et des actrices des médias à travers le monde. Ils ont longuement raconté leurs parcours, leurs inspirations, leurs combats. Et de fil en aiguille, entre ces femmes et ces hommes qui vivent aux quatre coins de la planète, s’est dessiné un certain nombre de correspondances : des convictions communes, des idées, du courage, de la passion. Chacun d’entre eux a bénéficié, à un moment de leur carrière, de l’accompagnement de CFI.
Ils sont dix. Ils viennent du Bénin, de Birmanie, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, du Cameroun, d’Egypte, de l’Irak, du Liban, du Vietnam et du Yémen. Ils sont aussi inspirés qu’inspirants, et ils s’apprêtent à vous raconter leurs histoires.
Correspondances, le podcast des artisans de l’info, est une série portée par CFI, l’agence française de développement médias.
Raconter le monde en 2021, ce n’est pas une mince affaire. D’un côté, la défiance envers les médias s’accentue partout dans le monde – un monde où l’on ne sait plus toujours très bien où se situe la vérité.
De l’autre, la liberté de la presse est menacée, plus que jamais : d’après RSF, en 2020, 387 journalistes ont été emprisonnés, dont un nombre croissant de femmes.
Une période trouble, dans laquelle CFI, l’agence française de développement médias, a voulu raconter ces femmes et ces hommes qui, partout autour du monde, travaillent chaque jour pour informer leurs semblables. Au nom de quoi elles et ils se lèvent chaque matin ? Qu’est-ce qui relie une présentatrice télé vietnamienne, un journaliste yéménite et une blogueuse camerounaise ?
Ces derniers mois, la journaliste Camille Diao, a eu l’occasion, et la chance de discuter avec des reporters, des blogueurs, des acteurs et des actrices des médias à travers le monde. Ils ont longuement raconté leurs parcours, leurs inspirations, leurs combats. Et de fil en aiguille, entre ces femmes et ces hommes qui vivent aux quatre coins de la planète, s’est dessiné un certain nombre de correspondances : des convictions communes, des idées, du courage, de la passion. Chacun d’entre eux a bénéficié, à un moment de leur carrière, de l’accompagnement de CFI.
Ils sont dix. Ils viennent du Bénin, de Birmanie, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, du Cameroun, d’Egypte, de l’Irak, du Liban, du Vietnam et du Yémen. Ils sont aussi inspirés qu’inspirants, et ils s’apprêtent à vous raconter leurs histoires.
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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d’informations.
À 57 ans, Sahadou Ali Zato est un expert des radios communautaires. C’est un homme occupé, qui voyage régulièrement en Afrique pour prodiguer ses conseils en management des médias et des organisations.
Originaire de Bembéréké, dans le Nord du Bénin, Sahadou Ali Zato grandit dans un environnement rural, passe toutes ses vacances à la ferme, au village. Son père, qui a eu la chance de faire des études, est devenu une sorte de notable local – d’abord instituteur puis inspecteur des enseignements primaires, toujours très impliqué dans la vie de sa communauté.
C’est de ses parents que Sahadou Ali Zato tient sa sensibilité aux autres et son sens du devoir. Tout son parcours est marqué par la volonté de transmettre, d’aider, d’accompagner. Ainsi que par son attachement à la radio, né l’oreille collée au vieux poste familial, dans le Bénin des années 60…
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